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 Dead World I : Rencontres

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ZombiGirl
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ZombiGirl


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Dead World I : Rencontres Empty
MessageSujet: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptyLun 22 Aoû - 18:33

I
Rencontres


La bibliothèque était calme. Les seuls bruits qui se faisaient entendre étaient le murmure des étudiants qui discutaient de leurs recherches ou des pages que tournaient quelques lecteurs solitaires.

Bien que la panique commençait à monter à Charlestown, les habitants continuaient de préserver un semblant de normalité. Par moments, on entendait des coups de feu au loin mais on essayait d’en occulter la signification. Les autorités assuraient avoir la situation sous contrôle et que l’épidémie n’atteindrait pas le cœur de la ville.

Lisa Stanton longeait l’étagère où se trouvaient les auteurs de littérature fantastique de 1800-1900. Elle dirigea le regard vers le bas et trouva rapidement ce qu’elle cherchait : « Poèmes et Nouvelles, Les œuvres complètes d’Edgar Allan Poe ». Elle sortit le livre et le feuilleta quelques instants admirant les anciennes illustrations qui ornaient chaque début de texte. Soudain, un grattement se fit entendre de l’autre côté du meuble. Elle se figea. Un livre tomba tout seul juste devant ses yeux et elle laissa s’échapper une exclamation de surprise. Une petite voix apparut :

- « Excusez-moi, Madame, j’ai pas fait exprès. »

Lisa jeta un coup d'oeil à travers l’étagère ouverte et vit un petit garçon perché sur une échelle. Surprise, elle lui dit qu’il se trouvait dans la section adulte.

- « Oui, je sais. C’est mon papa qui m’a demandé de - »

Une main décomposée attrapa ses cheveux et tira sa tête en arrière. Sa voix se perdit dans un râle étranglé. Le mort vivant siffla en direction de Lisa et mordit le garçon à la gorge.

La jeune femme poussa un cri terrifié et lâcha le livre qui heurta le sol avec un claquement sec. Elle se tourna et courut vers l’allée centrale. La table où elle était installée avec ses camarades de fac se trouvait ensuite sur la gauche, un peu plus loin. Le zombie se trouvait également sur la gauche mais peut-être qu’elle pourrait courir assez – CRASH !

Le vacarme lui fit changer d’avis vite fait. Déjà arrivée au bout de l’allée, elle tourna vers la droite et se réfugia dans l’allée du fond. Elle s’accroupit, tremblait de la tête aux pieds, essaya de ne faire aucun bruit.

Des bruits de poursuite et des grognements rauques s’élevèrent. Lisa rampa jusqu’à l’allée centrale et osa un regard. Une quinzaine de mètres plus loin, Carl et Thomas étaient aux prises avec trois monstres. Paralysée d’horreur, elle ne put qu’assister impuissante au spectacle abominable de ses amis se faisant déchiqueter par les morts vivants. Les cris de rage des garçons se transformèrent rapidement en hurlements aigus de souffrance infinie. Lisa réussit enfin à fermer les yeux.

Elle se recula et se pressa contre l’étagère en sanglotant librement. En proie à une terreur toute-puissante, elle n’entendit pas le bruit de pas impatients qui montaient de l’autre bout de l’allée. Des mains puissantes agrippèrent ses bras. Lisa émit un long soupir et garda les yeux fermés. Les doigts étrangers s’enfoncèrent dans ses bras pour mieux la secouer.

- « Oh ! Reprends-toi ! Il faut qu’on parte d’ici, j’ai un endroit où aller. »

La voix pénétra enfin sa torpeur et Lisa ouvrit les yeux. Un homme d’une trentaine d’années était accroupi devant elle, le visage déformé par la crainte. Il était la plus belle chose qu’elle ait jamais vue. Elle lui sauta au cou et manqua de les renverser tous les deux.

- « Mais qu’est-ce que vous faites ? » demanda-t-il en essayant de se défaire de cette étreinte désespérée. « Aïe, vous m’étrang - »

- « Merci merci merci mon Dieu merci mer - »

- « Vous me remercierez plus tard. Il faut partir d’ici maintenant avant qu’ils nous - »
L’étagère se mit à tanguer dangereusement. Les charnières grincèrent, les livres tombèrent les uns après les autres.

Le jeune homme n’hésita pas une seconde. Il tira violemment sur le bras de Lisa et l’entraîna avec lui. Ils passèrent la porte du personnel, échappant de justesse à l’effondrement assourdissant de l’étagère.

- « Je m’appelle Jerry, » dit l’étranger tandis qu’il tournait la clé restée dans la serrure. Quelque chose tomba lourdement contre la porte et il recula doucement. « Ca devrait tenir, je pense. De toute façon, on sera pas là pour le savoir. Allez, viens ! »

De nouveau, il entraîna Lisa qui n’opposait toujours aucune résistance. Elle se sentait aussi faible qu’une poupée de chiffon et revit sans cesse la mort sanglante de Carl et Thomas dans son esprit.

Ils sortirent par une porte qui se trouvait à l’arrière du bâtiment et donnait sur le parking. Jerry courut avec Lisa jusqu’à sa voiture et ils sautèrent dedans. Il démarra en trombe et se dirigea vers la sortie où il prit à gauche. Ils débouchèrent sur le boulevard devant la bibliothèque.

C’était déjà le chaos.

Les monstres sanguinaires poursuivaient des humains paniqués tandis que la circulation n’obéissait plus à aucune règle.

Un mort vivant apparut du côté de Lisa. Ses rugissements traversèrent la torpeur causée par le choc et elle recouvra ses esprits. Voyant la gueule vicieuse de la chose à quelques centimètres seulement de son visage, elle se débattit de façon hystérique et sans le faire exprès, baissa la vitre. Une odeur nauséabonde envahit l’habitacle, provoquant immédiatement un haut-le-cœur chez Lisa. Elle se pencha en avant et vomit entre ses pieds.

Jerry tenta de refermer la fenêtre avec le bouton automatique mais le monstre avait réussi à passer les deux mains.

- « Ne bouge pas, reste penchée en avant ! » cria-t-il à Lisa. Il attrapa le plan qui se trouvait dans la portière et frappa le mort vivant comme il pouvait. Rien n’y fit. Prenant une décision rapide, il appuya de nouveau sur le bouton et la vitre coinça les poignets du monstre. Ensuite il enfonça l’accélérateur. Le véhicule bondit en avant, entraînant le mort vivant avec eux.

Lisa suffoquait dans les effluves du vomi et leva la tête pour respirer. Le zombie lui attrapa immédiatement les cheveux, provoquant un cri de terreur qui fit sursauter Jerry.

- « Je t’avais dit de garder la tête en bas ! Merde merde merde… »

Il scruta la route devant eux, sachant qu’il fallait bientôt prendre à droite. Tout à coup, une camionnette arriva de nulle part et s’approcha à grande vitesse. Jerry se força à rester calme afin de viser juste. Les deux véhicules foncèrent l’un vers l’autre comme deux chevaliers lors d’un tournoi médiéval. L’autre conducteur garda la main appuyée sur son klaxon. Le bruit agaçant se mêlait aux cris de Lisa et les rugissements épouvantables du mort vivant.

Le choc fut brutal, arrachant net les bras du zombie qui roula sous les roues de la camionnette. Les véhicules se frôlèrent dans un grincement strident et le pare choc de la voiture de Jerry fut arraché d’un coup.

- « Accroche-toi à quelque chose ! » hurla-t-il et Lisa se cramponna à la portière.

Il prit un virage à droite à presque 100km/h. Les roues crissèrent, la voiture se pencha sur le côté conducteur. Le temps flotta l’espace d’un instant puis le véhicule retomba lourdement sur le bitume et Jerry put enfin ralentir la cadence. Il jeta un coup d’œil vers Lisa. Elle était livide et ne poussait plus que des gémissements pathétiques. Les mains putréfiées du zombie étaient toujours accrochées à ses cheveux, jurant fortement avec ses délicates boucles blondes.

Jerry freina et la voiture s’immobilisa. Il baissa la vitre côté passager et se pencha pour libérer les cheveux de Lisa. L’aspect mou et poisseux des membres arrachés lui retournèrent l’estomac et il se hâta d’en finir. Des bruits de panique s’approchèrent et ils repartirent aussitôt.


Jerry était journaliste et travaillait dans un magazine de cinéma dont le rédacteur en chef était son ami, Glen Jacobs. Les bureaux se trouvaient à la sortie de Charlestown et ils les atteignirent sans incident une dizaine de minutes plus tard.

Lisa n’avait pas bougé de la portière et lorsque Jerry la secoua doucement, elle lâcha prise d’un coup et s’agrippa les cheveux.

- « Elles sont où ? Enlève-moi ça, enlève ça ELLES SONT OU ENLEVE - »

- « Arrête ! Calme-toi, il n’y a plus rien, on est en séurité ! »

Jerry avait empoigné ses bras et elle se calma petit à petit. Ses yeux bleus débordaient de larmes et elle était de toute évidence encore sous le choc. Il patienta jusqu’à ce qu’elle arrête de trembler, chuchotant sans cesse des mots rassurants. Elle se laissa aller contre lui lorsque son téléphone portable sonna. Ils eurent tous les deux un mouvement de surprise. Il attrapa l’appareil.

- « Oui ? … Je suis en bas, j’arrive… Oui, ça va, je vais bien. Il y a une jeune fille avec moi que j'ai... D'accord, à tout de suite. »

Il raccrocha et vérifia que rien ne bougeait dans la rue. Il sortit, contourna le véhicule et ouvrit la portière pour Lisa qui ne bougea pas.

- « Viens, c’est juste là, à quelques mètres de toi. »

Après encore quelques secondes d’hésitation, Lisa bondit de son siège et courut se réfugier dans l’entrée. Jerry prit soin de fermer la voiture à clé et la suivit.

Ils montèrent au troisième où attendait un Glen en proie à une inquiétude qui frôlait l’hystérie.

- « Mais t’étais où ? Pourquoi t’as pas appelé ? J’étais - »

- « Calme-toi, je suis là et tout va bien, » lui assura Jerry en lui serrant le bras. « On s’est fait attaquer à la bibliothèque et j’ai sauvé cette jeune femme. Ses amis sont tous morts… »

Ils regardèrent Lisa en silence. Glen s’approcha et la dirigea en douceur vers une chaise. Ensuite, il alla chercher une bouteille de cognac et trois petits verres. Jerry le regarda avec un sourire.

- « Oui, ben c’est pas une grande occasion, » se défendit Glen, « mais c’est sans doute la seule qu’on aura avant longtemps. »

Lisa avala le contenu ambré en une seule fois et se resservit. Le deuxième sembla faire son effet et elle se détendit en poussant un soupir.

- « Je m’appelle Lisa Stanton, » dit-elle d’une petite voix. Elle se racla la gorge. » J’ai 22 ans, je suis étudiante en littérature. On était allés à la bibliothèque pour… pour… et puis Carl et Thomas… Ils… Ils ont été… »

Elle craqua et Jerry mit les bras autour d’elle.

- « C’est pas juste, c’est pas normal, ils n’avaient rien fait, ils étaient juste là, et moi, je me suis sauvée, je n’ai même pas… essayé de… »

Sa voix se perdit dans des sanglots incontrôlés. Les deux hommes sentirent l’impuissance leur gagner. Glen finit son verre et le reposa avec un claquement.

- « Ce qui est arrivé ne peut plus être changé. On ne peut pas rester ici longtemps, il n’y a que des gâteaux secs à grignoter et de l’eau. Le cognac, on l’aura terminé dans un quart d’heure. On n’a pas d’armes, nos seules affaires personnelles sont celles qu’on a sur le dos mais au moins, on a la voiture de Jerry. Je propose qu’on parte tout de suite pour aviser en route. Je ne vois pas ce qu’on peut faire d’autre. »

Lisa leva la tête.

- « J’ai vu un petit garçon se faire tuer. Il avait juste quelques années de moins que mon demi-frère… »

- « Où se trouve ta famille ? » demanda Glen. « On pourrait peut-être passer les - »

- « Ils vivent dans un appartement à deux pas de la bibliothèque. Ma mère, mon beau-père et mon demi-frère. Mais vu l’état du centre ville, je ne crois pas que… »

- « Tu veux les appeler ? »

Elle baissa la tête et secoua la tête, préférant ne pas savoir.

- « D’accord. » Glen haussa les épaules, ne voulant pas pousser Lisa trop loin. « On se prépare et on y va, alors. Le plus tôt sera le mieux. »

Il était le seul à avoir un sac en sa possession – Lisa et Jerry avaient dû abandonner les leur à la bibliothèque. Il y fourra la bouteille de cognac et ils quittèrent les bureaux pour la dernière fois. Glen ne put s’empêcher de ressentir un pincement au cœur de devoir ainsi abandonner ce pour lequel il avait tout mis de côté pendant dix ans.


Jerry venait de débloquer les portières avec la télécommande lorsqu’une énorme explosion secoua le quartier. Au bout de la rue, des flammes oranges s’élevèrent à une vingtaine de mètres, suivies par un épais nuage de fumée noire. L’onde de choc les atteignit au même moment, renversant Lisa et projetant les deux hommes contre la voiture dont les vitres tinrent bon. Des alarmes de voiture se mirent en route un peu partout et des cris résonnèrent des rues avoisinantes. Sonnés, ils se remirent péniblement debout.

- « Il faut rapidement trouver une autre sortie de la ville, » dit Jerry. « Il est hors de question de retourner dans le centre. »

Ses mains tremblaient tant qu’il avait du mal à ouvrir la portière. Soudain, une voix les interpella.

- « Attendez ! »

Un homme courut vers eux, grand, baraqué, tout habillé de noir et armé jusqu’aux dents. Il leva les mains comme pour indiquer qu’il ne leur voulait aucun mal et arriva à leur hauteur.

- « Où allez-vous ? »

- « Hors de la ville, pour commencer, « répondit Glen. « Qui êtes-vous ? »

- « Donnie Lynch, enchanté, » dit-il en leur tendant la main. « Je suis avec un petit groupe de gens et nous sommes armés. A plusieurs, on sera plus en sécurité… »

Jerry tourna la tête vers Glen. Ils se connaissaient depuis assez longtemps pour n’avoir besoin que d’un regard pour se comprendre.

- « Ce n’est peut-être pas une mauvaise idée, « dit Jerry. « Avez-vous un véhicule ? »
- « Pas encore. On va se barricader dans l’épicerie là-bas, dans la ruelle. Puis on va essayer de trouver une camionnette assez grande pour nous tous. Ca vous va ? »

Des rugissements sauvages précipitèrent leur décision. En compagnie de Donnie, ils coururent jusqu’à l’épicerie dont le rideau de fer avait été forcé. A l’intérieur régnait le désordre total et une désagréable odeur de moisi. La seule lumière provenait des néons du rayon froid qui occupait le mur du fond.

Glen et Jerry baissèrent le rideau autant que possible et Donnie fit les présentations de son groupe pour le moins hétéroclite : Susan Carpenter, une femme d’âge moyen au visage fatigué ; Lorenzo D’Amato, un jeune homme grand et ténébreux au regard condescendant ; Joanie Adams, un petit bout de femme à la chevelure brune longue et lisse qui se cramponnait à son mari, Steven, tout son contraire avec son allure massive de Viking blond et moustachu.

- « Enchantés de vous connaître, » dit Glen et présenta ses camarades à son tour.

Les deux groupes se regardèrent sans savoir que dire.

Le bruit d’une boîte de conserve heurtant le sol avec un bruit creux détourna leur attention. Elle roula avec lenteur et s’immobilisa. Une seconde passa. Puis d’autres tombèrent dans un grand fracas.

(à suivre)


Dernière édition par le Ven 25 Nov - 11:37, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptyLun 22 Aoû - 20:44

Franchement zombigirl, c'est un formidable début d'histoire, ça peut faire une supère saga! Je n'arrive pas à trouver de défauts à cette première partie qui tient en haleine! Bravo
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MessageSujet: Re: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptyJeu 24 Nov - 17:01

J'ai réécrit le début, ce qui rajoute un chapitre à l'histoire.

Je n'aimais pas du tout les 2 premiers chapitres car je les trouvais peu engageants et surtout dommage de relater leur rencontre en flashback.

Je m'excuse pour le dérangement et surtout pour vos commentaires qui se retrouvent du coup décalés d'un chapitre... Mais j'ai bien pris note de tout et votre intérêt me fait super plaisir Embarassed

J'ai fait de menues corrections par-ci par-là et j'ai viré l'accent de Lorenzo. Il doit rester 2-3 mots au début et c'est tout. Rien de gênant comme avant.

Voilà, j'espère que les 2 premiers chapitres vous plairont Wink

Bonne lecture (quand vous aurez le temps) Bravo
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MessageSujet: Re: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptyJeu 24 Nov - 17:41

Je lirai en revenant du ciné Bravo
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MessageSujet: Re: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptySam 26 Nov - 0:56

Je pense qu'on peut dire, littéralement, que c'est un bon début. Assez surprenant je dois dire. Quand tu as dit que tu réécrivait, je m'attendais à ce que tu t'attarde sur "l'avant". Or c'est assez abrupt, ça commence sur les chapeaux de roues. En revanche, c'est avec cet épisode qu'on ressent le plus ton parti pris de t'attacher à chaque fois à un autre personnage. Au fur et à mesure de tes numéros, tu met un point d'honneur à changer de point de vue, de personnage central...Ici, Lisa et Jerry, puis ce sera Glen, Donnie, Susan, Lorenzo...Le plus dur est de le lire en faisant abstraction de la suite pour y rentrer totalement vierge. Un épisode d'exposition mais aussi nécessaire pour la cohérence générale. Paradoxalement, on sent que c'est un début, tu ne te "laches" pas trop si tu me passes l'expression. Smile Ca donne envie de lire la suite. Ce que je vais faire demain.
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MessageSujet: Re: Dead World I : Rencontres   Dead World I : Rencontres EmptySam 26 Nov - 13:04

Citation :
.Le plus dur est de le lire en faisant abstraction de la suite pour y rentrer totalement vierge.

Oui, c'est exactement mon sentiment aussi. D'un autre côté, en connaissant déjà bien mes personnages, il m'a été plus facile de les faire exister dès le départ. Et le fait de mettre l'accent sur un différent dans chaque chapitre est bien sûr voulu pour justement ne pas en oublier (vu qu'ils sont nombreux).

Bravo
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