Harry Mason, un jeune écrivain, prend des vacances tardives. Sa fille, Cheryl, lui propose mystérieusement d'aller à Silent Hill, une petite ville touristique qui se situe au nord-est des Etats-Unis.
Il fait déjà nuit lorsqu'ils arrivent près de la ville en voiture. Harry trouve soudain une femme en plein milieu de la route. Il réussi à l'éviter de justesse mais sa voiture tombe de la falaise.
Harry se réveille le matin. Sa voiture s'est écrasée sur une route de Silent Hill. Sa fille a disparu, il part tout de suite à sa recherche.
Mais cette ville n'est pas normale. Un épais brouillard empêche de voir quoi que ce soit et il commence à neiger alors que ce n'est même pas la saison.
Au loin, Harry aperçoit une fille ressemblant à Cheryl. Il essaye de la rattraper mais elle prend la fuite. Harry la voit finalement rentrer dans une ruelle.
Il avance en espérant retrouver sa fille. Mais ce qui l'attendait était le début de tous ces cauchemars...
Le premier épisode, le jeu PSX qui a donné des cauchemars à tant de joueurs. Avec son histoire en apparence simple, mais finalement très fouillée, très complexe, Konami réussis le pari de faire mieux que Resident evil. Alors certes, ce n'est pas très beau, mais finalement, on se dit avec le temps que les graphismes assez sommaires font le charme du jeu, et qu'ils parviennent eux même à mettre dans l'ambiance. La bande son est très travaillée, la musique, à base de sons étranges, grincements et bruits de sirênes, ultra stressante.
Certains passages traumatissent, comme celui de l'école, ou le joueur va souvent courrir comme un dératé pour éviter les ennemis et prier pour sortir de ce cauchemar, et celui des égouts, un de mes pires (donc meilleurs
) moment de frousses du jeu.
La fin est un peu décevante, trop rapide, trop facile, mais ça n'enléve rien au plaisir du jeu.