Histoire à compléter

Ce n'est qu'un essai, si ça a du succès, j'en ferai une section!
Le but est de compléter petit à petit l'histoire :


Ce fut une nuit noire. Sous un violent orage, un prêtre courru , au fond des bois, courru, courru jusqu'à en perdre le souffle. Mais un cri terrible retentit soudain...


A vous!

In nomine padri et fili et spiritus sanctu...A boût de force, le prêtre s'effondra au pied d'un arbre, la pluie ruisselant sur son visage en sueur. Le tonerre gronda et un éclair zébra le ciel. L'arbre éclata dans un craquement infernal et agonisa là, noirci et fumant, tandis que les élements se déchainaient de plus belle. Au loin, le cri repris, déchirant la nuit d'une supplique atroce. Avec l'énergie du desespoir, le prêtre se redressa et repris sa course. Sa main droit, crispé jusqu'au sang, tenait un petit crucifix. Soudain, il était sortie de la forêt. Un petit cimetierre se tenait là. L"orage avait cessé, la pluie se fit plus fine. Une petite couche de brume flottait sur les tombes. ..

Alors qu'il se faufilait entre les tombes, un léger bruit rententit. Un bruit horrible. Soudain, il put apercevoir quelque chose bouger sous la couche de brume...Oui, il ne rêvait pas, le sol tremblait. Il tremblait, et laissait peu à peu apercevoir une main squelettique...

...Paralysé de terreur, le prêtre ne pouvait qu'assister impuissant à la sortie de terre du monstre. La main squelettique chercha une prise mais le sol meuble l'en empêcha. Avec un grondement féroce, il se propulsa hors de sa tombe. Il atterrit à genoux et se leva lentement pour faire face au prêtre. Le mort-vivant était en piteux état. Ses vêtement n'étaient plus que des lambeaux, sa chair avait disparu en grande partie et laissait voir son squelette noirci par la crasse mais le visage était assez intact pour distinguer encore des traits. Les yeux... C'était les yeux qui étaient le pire. Rougeoyants, suintants, profondément mauvais. Le prêtre ressentit un frisson de dégoût devant la créature puante et souleva son crucifix ridicule en direction du zombie.

- In nomine padri...

A peine eut-il le temps de terminer sa phrase, que cet être le mordit au bras. Le prêtre recula violemment, jusqu'à trébucher sur une tombe. Le zombie avança vers lui, lentement, un bout de chair entre les dents. Le prêtre, dans un dernier élan, lui lança des injures en latins. Au même moment, une autre main sortit du sol, et aggripait le prêtre. Le premier zombie commença à lui déguster la jambe. Le second, le torse. Par delà le festival de boyaux qui s'entremélaient, on put distinguer l'expression de terreur sur le visage de ce pauvre être humain...

Au moins, il avait pu se consoler de ne pas être fou : le virus ALPHA que son fils à déversé sur la région réveillait bien les morts...