Un COPIER/COLLER d'une critique du site GORE DONC ÇA:
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Frissons
Vous aurez peut-être de la difficulté à nous croire, mais ce film est insupportablement mauvais lui aussi. C’est à croire qu’on fait exprès. Non mais quel scénario imbécile.
La pathétique histoire se déroule à Montréal dans les années 70, qui est prétendument une magnifique île dont les habitants vivent en autarcie. Nous avons déjà été à Montréal, ce qui nous permet de clamer haut et fort qu’il n’en est rien. Foutrement rien. Plusieurs jeunes couples emménagent dans des condos soi-disant de luxe, même si l’on découvre par la suite que les sous-sols sont franchement miteux. La décoration est d’ailleurs ce qui fait le plus peur. Donc, un joyeux scientifique éventre une fille dans son joli condo afin de lui retirer un repoussant mycoplasme de l’abdomen. Ce déplorable parasite possède la faculté de transformer son hôte en zombie sexuel. Putain, c’est une des prémisses de film les plus débiles que nous ayons eu le malheur de croiser. Vous aurez compris, fidèle lecteur, que la nudité inutile abonde péniblement tout au long de ce navet infâme. Plusieurs séquences sont grandement vomitives, dont celle avec la madame en moumou qui fait son lavage et pire encore, la scène où un couple de vieux se fait attaquer par le vilain parasite. La trame sonore est tout aussi abominable, soit dit en passant.
Cronenberg, le véreux réalisateur, prend d’ailleurs la peine de préciser dans une entrevue qu’il n’y a aucun vrai comédien dans le film (cela paraît, évidemment) et que cette histoire a très certainement inspiré la série des Aliens. De plus, tout le monde dans ce film est laid. Vraiment, nous n’exagérons pas. Laid, laid, laid. Tous des laiderons. Bon. C’est vraiment désagréable. Ce film est probablement très difficile à trouver puisque nous avons eu notre copie dans un club vidéo pitoyablement reculé, pour la désastreusement modique somme de 98 sous canadiens (EUR 0.61). La vendeuse a d’ailleurs précisé que c’était moins cher qu’une cassette vierge. Voilà une remarque judicieuse, qui en dit long sur l’insoutenable supplice qu’est ce film.