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 Dead

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Angelheart
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Angelheart


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MessageSujet: Dead   Dead EmptyJeu 2 Mar - 1:23

Une petite nouvelle écrite il y a deux mois. Donnez-moi vos avis Bravo


« Si tu avais trois vœux à formuler ? »

« Hmm… Etre beau. Etre riche. Etre intelligent. »

« Ouahhhhh, c’est trop classique ça ! Et toi Marc ? »

« Oh la ferme… Ca me gonfle déjà assez d’attendre. »

Trois adolescents, seize ans, sont assis sur un petit banc dans un métro parisien. Les jambes croisés, les coudes posés sur les épaules des autres. Complètement affalés et surtout dépités. L’attente est trop longue. Il est quatre heures et demi du matin. Encore une heure à attendre. Le banc est en vérité plusieurs sièges collés les uns autres. Des traces d’urine, de moisi, des graffitis, tapissent le mur derrière eux. Au sol, des cannettes vides, des papiers diverses, noyés dans la crasse ambiante. Les murs sont blancs carrelés, et contrastent avec le. On a l’impression qu’ils possèdent une protection spéciale. Une barrière invisible face aux attaques des personnes descendantes et montantes dans le rer. Il était d’un blanc immaculé. Ce qui n’empêchait en rien le métro d’être triste, mais surtout désert.

Les trois pauvres bonhommes présents s’appellent Pierre, Marc et Philippe. Le premier, Pierre, qui posait cette question forte intéressante, ressemble plus à un enfant qu’un adulte. Les cheveux ébouriffés bruns, les yeux pétillants marron, le regard naïf. Ses vêtements sont ceux qui lui sont tombés sous la main : un vieux pantalon bleu troué, un pull vert délavé, légèrement daté et trop grand. Au milieu, Marc, celui qui avait répondu sans rechigner au questionnaire. Une belle chemise à carreaux (bleu et blanc), des lunettes, des yeux bleus écarquillés, un visage triangulaire, et une coiffure proche de celle que possédait elvis. Autant dire qu’il était un concept à lui tout seul. Le dernier, Philippe, le râleur. Brun, coupe au carré, un pull en laine, un blouson banal gris, et un pantalon tout aussi anecdotique. Ses cheveux, eux, ne semblaient n’avoir jamais eu de retouche de leur vie. Le pire étant qu’il les portait longs. Il les envoyait très souvent de droite à gauche sans savoir quoi en faire.

« Vous vous rendez compte de ce que m’a dit le prof. » lança Philippe.

« Oh merde Philippe, reviens pas avec ça ! » répondit Marc.

« Je trouve ta copie déplorable… » imita Philippe en écrasant tous ses mots comme si il souhaitait les vomir.

« Je te rappelle que tu es censé écrire une suite au passage de Voltaire…Voltaire tout de même. Certains mots ne peuvent être employés dans ce contexte !!! »

Philippe souffla.

« Et comment je le sais ça, connard ! » hurla Philippe.

« C’est bon ou y a un rappel » rétorqua Marc.

« Je mettrai plutôt cette virgule, ou alors ce point ici. Et ta mère ouais ! » dit Philippe d’un ton insolent.

« Oh arrête Philippe, c’était pas si méchant. » fit Pierre.
« Bien sûr. Toi, t’as pas trop à te plaindre avec ton 15 et ton histoire « toute mignonne, youhouuuuuuuu… On avait l’impression qu’il te jetait des fleurs. Moi, j’ai eu le droit au seau de merde, comme d’hab » se lamenta encore Philippe en remuant la tête de droite à gauche.

« Ouais, et à part ça ? » demanda Marc.

« Encore cinquante minutes, rien d’autre. » répondit spontanément Pierre.

« Merci de le rappeler. » plaisanta Marc.

Pierre se leva promptement et shoota dans une canette de coca-cola devant lui.

« Allez, un petit foot les gars ? »

Personne ne répondit.

« Oh allez quoi ! Pour se détendre. »

« Je serai plus détendu chez moi !!! » jeta Philippe.

Marc souffla.

« Ouais, je crois qu’en fait, je vais faire un foot. » fit-il

Marc et Pierre jouèrent quelques minutes. Des dribbles, des tirs, des cris de joie.

« Comment peut-on s’amuser avec une canette et un mur. » s’agaça Philippe.

« Avec de l’imagination. » répondit Pierre.

« Lui parle pas, laisse-le marmonner. » dit Marc.

Puis la canette s’envola vers un autre siège. Dessus un homme, habillé avec un pantalon noir, un long manteau noir qui lui recouvrait une grande partie du corps, et un chapeau noir. Difficile de distinguer quoi que ce soit du personnage. Il était assis d’une manière assez raide. La canette lui frappa le pied gauche.

« Excusez-moi monsieur. » fit Pierre en accourrant.

L’homme ne réagit pas. Pierre tenta d’entrevoir son visage tout en ramassant la canette en se baissant puis repartit.

« Et les gars… Il a l’air louche ce type » murmura Philippe.

« Dis-le encore plus fort. Il est pas assez près. Au moins sept bons mètres. » rétorqua Marc.

« En plus, on ne l’a même pas vu arriver… » renchérit Philippe

« Mais t’as fini, oui ? » invectiva Marc.

« Il doit attendre le métro comme nous. » fit Pierre.

« Ouais, et puis comme il est timide, il garde son manteau et son chapeau. » riposta Philippe.

« Oui, voilà, on continue ? » fit Pierre qui voulait passer à autre chose.

« Ca me rappelle une fois, un grand barbu avait sonné à ma porte. C’était moi qui avais ouvert ! J’ai eu super peur, j’ai refermé la porte et je suis allé voir mon père dans sa chambre. Et ben, il a rouvert la porte et il était à mes trousses ! » raconta Pierre.

« Et alors ? » firent les deux autres, intéressés.

« En fait, c’était mon oncle. Mais j’étais petit aussi… N’empêche qu’il faisait peur. » répondit Pierre.

Marc et Philippe rigolèrent.

« En tout cas, lui, c’est pas ton oncle. D’un autre côté, il a pas tort de garder son attirail sur lui, il fait froid, la vache ! » se plaignit Philippe.

« Joue avec nous, ça te réchauffera ! » répondit Pierre

« Ouais, ou souffle sur tes mains. » ajouta Marc.

Marc frappa fortement dans la canette, Pierre ne put arrêter la frappe. Elle fit son chemin jusqu’à l’homme au manteau noir. Elle stoppa sa course juste devant lui.

« Tu veux pas y aller ce coup-ci Marc ? » demanda Pierre.

« T’as pas envie de savoir si c’est ton oncle ? » se moqua Philippe.

Marc alla ramasser la canette. Il prit un temps d’arrêt pour observer l’étrange silhouette. Mais rien ne transparaissait. Il semblait immobile.

« Je ne vous gêne pas monsieur ? » lança au hasard Marc pour obtenir une réaction.

Aucune réponse, même pas un grognement. Un calme olympien. Marc revint vers les autres, plutôt étonné, un peu effrayé.

« Balancez-lui la canette sur la tête pour voir ! » rigola Philippe.

« T’es fou… En même temps, il entend tout ce qu’on dit depuis tout à l’heure…Si il avait voulu s’énerver. » répondit Marc.

« Laissons-le tranquille plutôt. Ca l’ennuie peut-être qu’on s’occupe de lui. » proposa Pierre.

Les minutes passèrent. Pierre et Marc jouaient. Philippe avait l’impression d’observer deux enfants et n’en pouvait plus d’attendre. Il regardait à droite à gauche, sans tenir compte de ses camarades. Marc s’élança et tira. La canette passa par-dessus l’épaule de Pierre et retomba net sur la chaussure de l’homme au manteau noir. Elle rebondit et tomba à côté. Mais pas du bon côté. Intérieur, entre les jambes de l’homme. Il aurait été plus simple et moins gênant de la prendre en dehors de ce périmètre, surtout si il décide de se saisir de la personne allant la chercher. Marc et Pierre se regardèrent un instant, sans savoir quoi faire. Philippe ne faisait définitivement plus attention.

« J’y vais » rassura Pierre.

Il s’approcha doucement de l’homme au manteau noir et s’arrêta à quelques centimètres.

« Excusez-moi de vous déra… »

Il ne put terminer sa phrase. L’homme se leva d’un coup, se mis face à Pierre, qui le regardait de ses yeux ronds de petit naïf la tête levée, lui saisit le cou, le souleva fortement au dessus. Il sortit un couteau de sa poche et le planta dans le bas ventre. Il remonta net jusqu’au menton comme si il n’avait rencontré aucune résistance. Du sang gicla de l’abdomen sur l’homme au manteau noir. Les yeux exorbités, surpris et suppliant de Pierre ne changèrent rien à la situation. Puis, il se dirigea vers l’un des pylônes du métro devant les yeux médusés de Marc et Philippe et lui écrasa la tête plusieurs fois contre. Des bruits d’os. Puis du sang, des dents tombèrent. Et enfin, il lâcha le cadavre inerte.

Marc et Philippe coururent en direction de la sortie, par les escaliers. Qui était cet homme ? Pourquoi ? Plein de questions leur arrivaient à vitesse folle en tête. Mais rien ne pouvait trouver de réponse. Ils leur restaient juste en image, comme si elle s’était bloquée, du cadavre de Pierre. Les couloirs du métro semblaient longs de plusieurs kilomètres. A quel endroit était-il ? Si ça se trouve, il allait apparaître devant eux. A la place de cela, un joyeux drille, un peu soul, déambulait de droite à gauche et d’avant en arrière, une bouteille de vin à la main. Un jeune adulte après une soirée bien arrosée.

« Monsieur, monsieur !!! » lancèrent Philippe et Marc tout en arrêtant leur course.

« Qu’est ce qui se passe ?! » hurla le jeune homme dans sa bave.

« Un homme… là-bas… là » bafouilla Marc

« Et ben dis donc… T’es bourré toi ou quoi ? » ironisa le jeune homme. « Je m’appelle Julien… C’est quoi ton prénom mon petit ?! »

Soudain, l’homme au manteau noir apparut au fond, le pas rapide.

« Làààààààààà, c’est lui !!!! » hurla Marc, à côté d’un Philippe hébété.

« Attends-là, je m’en vais lui dire un mot à ce con là !!! » lança Julien.

« Non…Non !!! » cria Marc avant de s’enfuir.

Philippe resta présent, observateur terrorisé.

« Dis donc, mon ami, cet enfant m’a… »

L’homme au manteau noir lui saisit le cou, lui empêchant de sortir un son. Julien tenta de donner un coup avec sa bouteille, mais le tueur l’attrapa au passage. Il la remua en face du visage de Julien pendant qu’il le mettait à genoux. D’un grand geste, il lui cassa la bouteille sur la tête, il continua à agiter le tesson devant ses yeux. Il lui lacéra les joues une à une en les enfonçant progressivement. Philippe observait avec une fascination morbide le tueur opérer de manière sadique. Les hurlements de Julien envahir tout le lieu, pendant qu’il enfonçait le verre dans la peau. Une fois traversée, il retira net le tesson. Du sang jaillissait des deux côtés. Il lui força à ouvrir la bouche puis fit entrer le morceau de verre et commença à racler le palais avec. Quand le jeu le lassa, le tueur au manteau lui rentra le reste tout entier dans l’œil. Il lâcha ensuite Julien et avança lentement vers Philippe.

Le tueur lui caressa le visage. Philippe remarqua qu’il avait des gants en cuir noir.

« S’il vous plait, laissez-moi… » chuchota Philippe incapable de pleurer.

Le tueur se mit à rigoler. Puis il le jeta contre un mur violemment. Philippe saigna du visage. Le tueur sortit une batte de base-ball devant l’adolescent à terre et encore sonné. Il frappa plusieurs fois dans les jambes. Marc entendit les cris de Philippe.

« Bordel. Je peux pas partir comme ça… Mais si il est mort, c’est inutile… Je vais laisser passer le tueur et revenir sur mes pas. Il existe plusieurs chemins, j’aurai toujours le moyen de m’en sortir… » réfléchit Marc. Il vit les toilettes en face de lui. La sortie juste au dessus. Mais un doute ne pouvait le faire sortir. Surtout, les rues sont désertes à cette heure. Si Philippe est vivant, ils pourront se maintenir. Oui, il est vivant. Marc voulait y croire pour éviter de perdre la tête et sombrer dans la peur. Il se réfugia dans les toilettes. C’était dégagé, mais pas assez pour que la cachette paraisse évidente. Toujours ces bruits de martèlements, toujours ces coups, toujours ces cris. L’horreur. Dans quel état serait Philippe. Puis, plus de chocs mais pourtant Philippe criait toujours. De longues secondes s’écoulèrent pendant lesquelles Marc s’imaginait le meurtrier partout. Puis, des pas. Un manteau noir. Le voilà ! Il passa devant Marc sans ralentir sa course. Sa ruse, aussi primaire soit-elle avait marché. Il allait sûrement chercher un tout petit peu dehors. Il existait un terrain vague à côté. Avec de la chance, le tueur allait le croire là-bas. Il enleva ses chaussures pour éviter le bruit et courut en direction de Philippe. Le spectacle qui découvrit l’effraya. Philippe lui tendait un bras ensanglanté, allongé sur le ventre. Il avait une jambe sectionnée, une traînée de sang derrière lui. Plus loin gisait Julien, complètement informe sans ses blessures et son hémoglobine.

« Merde Philippe, qu’est-ce qu’il t’a fait ??? » questionna Marc.

« Il m’a… il m’a… frappé dans les jambes, il les a cassé…et puis… et puis… Il a prit une scie…et… » Philippe se mis à pleurer.

« C’est pas humain de faire ça… » fit Pierre, tétanisé.

Les pas revinrent dans leur direction.

Complètement panique, Pierre laissa Philippe.

« Désolé, mais je vais revenir. »

Il partit en courant. Philippe fit mine d’être mort et laissa passer le tueur qui activait toujours un pas assuré.

Lorsque l’homme au manteau noir fut passé, Philippe commença à ramper. Il monta marche par marche, dans la douleur. Il se mettait ensuite en position assise, s’aida de ses bras et souleva son corps pour aller de marche en marche. Il souffrait à chaque effort. En haut des marches, il se remit sur le ventre et commença à ramper. Il était entouré de sang, et n’avait que l’espérance d’atteindre la sortie en tête. Du sang sur ses mains, sur sa figure, sur ses vêtements. A en devenir fou.

Marc courrait toujours. Plusieurs chemins à chaque fois. Il connaissait tout par cœur, mais là, impossible de savoir. Tel couloir menait au précédent, a-t-il pris la même route que lui, ou des raccourcis. Marc s’embrouillait au fil qu’il avançait. Il sentit une grande douleur dans sa jambe. Le tueur venait de lui planter un couteau dans le mollet. Il se trouvait à dix mètres de lui. Face à face, dans un couloir placardé de carrelage blanc, qui avait des allures de couloir de la mort ou de chambre de fou. Marc se laissa aller au désespoir et se laissa tomber en arrière dans les escaliers. Il regarda au dessus lui, attendant que son bourreau vienne mettre fin à l’histoire. Mais marc ne vit rien. Soudain il sentit son cou enserré. Le tueur lui avait mis une cordelette autour du cou et il tirait fortement. Marc se forçait à se lever mais le tueur lui appuyait la tête sur le sol avec le pied. Marc croyait que sa tête allait s’arracher. Il donna des coups dans les jambes du meurtrier, sans effet. Il le plaqua la tête contre le sol, les yeux rivés en l’air. Les chaussures lui tombèrent dessus, plusieurs. Marc cria tout d’abord, mais sa tête se fracassa sous les chocs brutaux, le tueur sautait sur son visage, jusqu’à lui en faire ressortir ses yeux sous l’impact…

Philippe rampait, encore, avec détermination. Il voyait enfin la sortie du métro. La liberté. Pour lui, la fin du voyage de l’enfer. Il ne restait que cela. Chaque marche du dernier escalier menant dehors lui semblait être des minutes. Interminables. Il s’observait par moment, complètement mutilé et se dégoûtait. Mais il fallait tenir bon. La dernière ! Ca y est ? La route, à quelques mètres. Mais, quelqu’un lui attrapa les jambes, le traîna. Il se frappa le visage contre chacune des marches… Un cri courut dans la nuit. Philippe allait passer de vie à trépas…
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Dead Empty
MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptyJeu 2 Mar - 1:45

C'est très bon!
La façon dont tu décrit tes personnages m'as un peu frustré, mais les dialogues sont savoureux, on y croit vraiment! Cette histoire, finalement très simple, est très efficace! Le fait de ne pas savoir pourquoi le tueur..tue, renforce le climat de peur!
Par contre, petit reproche, je trouve que les réactions des personnages lors de la mort de Pierre pas très naturel, on dirait qu'ils ont juste étés choqués, alors que leur ami vient de se faire descendre froidement!
Sinon, un grand bravo Bravo
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Angelheart
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Angelheart


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MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptyJeu 2 Mar - 20:17

Evil Raptor a écrit:
C'est très bon!
La façon dont tu décrit tes personnages m'as un peu frustré, mais les dialogues sont savoureux, on y croit vraiment! Cette histoire, finalement très simple, est très efficace! Le fait de ne pas savoir pourquoi le tueur..tue, renforce le climat de peur!
Par contre, petit reproche, je trouve que les réactions des personnages lors de la mort de Pierre pas très naturel, on dirait qu'ils ont juste étés choqués, alors que leur ami vient de se faire descendre froidement!
Sinon, un grand bravo Bravo

Merci beaucoup pour ton avis Bravo.

Pourquoi ma description des personnages t'a frustré ? Quant à la réaction des enfants, il est vrai que cela peut paraître étrange. Cependant, je n'avais pas envie de les faire hurler ou pleurer. J'ai essayé de me mettre à leur place. Et je pense, qu'au lieu d'avoir la réaction légitime, c'est à dire de crier, je resterai muet, même si la terreur est intérieure. Voilà Bravo
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MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptyJeu 2 Mar - 20:28

Je ne sait pas, je trouve que c'est ammené trop brutalement (ce n'est qu'un avis personnel qui n'engage que moi Clin d'oeil )
Pour leurs réactions, tu as raison après tout, mais j'espère ne jamais savoir ce que ça fait Bravo
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MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptyVen 3 Mar - 14:39

Ouf Shocked Du tout bon Bravo

Ce que j'aurais aimé, c'est un peu plus de descriptions de leurs sentiments, sinon je trouve que les personnages sont clairs et bien dessinés (sans toutefois sortir de l'ordinaire mais c'est pas ce qu'on leur demande !).

Par contre, ici, je me suis un peu perdue : "« Bordel. Je peux pas partir comme ça… Mais si il est mort, c’est inutile… Je vais laisser passer le tueur et revenir sur mes pas. Il existe plusieurs chemins, j’aurai toujours le moyen de m’en sortir… » réfléchit Marc."

Si je peux me permettre, tu devrais couper le "réfléchit Marc" et le coller en début de phrase, : "« Bordel. Je peux pas partir comme ça," réfléchit Marc. " Mais si il est mort, c’est inutile…"

Comme Evil, j'aime beaucoup ce tueur silencieux et mystérieux, habillé tout en noir et qui n'évoque aucune raison pour tuer. Ca fonctionne très bien ! Ton écriture est encore une fois plus proche du scénario mais c'est un compliment Wink
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MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptyVen 3 Mar - 20:42

Une nouvelle qui se lit très bien, avec un début assez "scénarisé" effectivement. Je trouve que l'aspect s'etompe au fur et à mesure. J'aime bien ce côté giallo brutal, c'est un beau pied de nez. Smile
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Angelheart


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MessageSujet: Re: Dead   Dead EmptySam 4 Mar - 1:16

Hi hi ! Merci à tous ! Heureux
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MessageSujet: Re: Dead   Dead Empty

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